Palais de l'Elysée - Paris le mercredi 27 juillet 2005.
Mesdames, Messieurs,
C'est un plaisir pour moi d'accueillir le Premier ministre d'Israël. Ce moment est l'occasion de lui dire à nouveau que la France est -et depuis longtemps- l'amie d'Israël et qu'elle souhaite que nous poursuivions le développement de nos relations politiques, économiques, culturelles, et humaines.
Je lui dirai aussi ma détermination totale à lutter contre les fléaux de notre temps : le terrorisme, le racisme, l'antisémitisme.
Et puis j'aurai l'occasion de lui dire, à la veille du désengagement de Gaza, que la France se tient aux côtés du peuple israélien et du peuple palestinien pour que, à l'occasion de cette décision historique, on assiste à une relance, à un renouveau du processus de paix, dans le cadre de la Feuille de route, processus qui doit conduire Israël à vivre en paix et en sécurité, et le peuple palestinien à construire un Etat qui soit à la fois viable et indépendant.
Enfin, nous aurons l'occasion d'évoquer les problèmes liés à la stabilité dans la région, la situation au Liban, les discussions avec l'Iran et, plus généralement, les problèmes internationaux.
Alors, je souhaite au Premier ministre la plus cordiale des bienvenues.
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