Paris, le 26 août 1998
Monsieur le Premier ministre,
Au moment où vous quittez vos fonctions, je tiens à vous dire combien j'ai apprécié la qualité de nos relations et le dialogue constructif qui s'est instauré entre nous.
Je garde un très bon souvenir de l'entretien que nous avons eu à Paris au mois de juin dernier et vous redis combien j'ai été sensible à votre choix de la France pour votre premier déplacement à l'étranger, confirmant ainsi la coopération confiante et amicale de nos deux peuples.
En espérant avoir l'occasion de vous revoir, je vous prie d'agréer, Monsieur le Premier ministre, l'expresssion de ma haute considération.
Jacques CHIRAC |