LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
Paris, le 8 juillet 1999
Chère Madame,
Au moment où j’apprends la nouvelle de la libération de votre petit-fils, M. Jean-Paul PUJOL, je tiens à vous dire combien je me réjouis de l’heureux dénouement de cette affaire.
Comme je vous l’avais promis, la France n’a pas ménagé ses efforts pour obtenir le retour à la liberté de l’un de nos compatriotes. Ils ont été couronnés de succès.
Je vous prie d’agréer, chère Madame, l’expression de mes hommages respectueux et de mes bien cordiales amitiés.
Jacques CHIRAC
Madame Jeanne LAVAL |