LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
Paris, le 29 août 1996
Madame,
C'est avec une vive émotion que j'ai appris le décès de votre mari, le président Jean BORNARD. J'ai pu à de nombreuses reprises apprécier chez le secrétaire général, puis le président de la CFTC, l'homme de conviction et de dialogue mais aussi l'homme de coeur qu'il était. Avec lui disparaît une grande figure du syndicalisme chrétien. Je tenais à vous exprimer en cette douloureuse circonstance ma profonde sympathie. Je vous prie d'agréer, Madame, l'expression de mes profondes condoléances et de mes respectueux hommages.
J'avais pour lui beaucoup d'estime et aussi d'amitié. Avec mes sentiments de solidarité dans cette si cruelle épreuve.
Jacques CHIRAC
Madame Janine BORNARD |