Paris, le 5 novembre 1997
Alors que plusieurs atolls de Polynésie française viennent d'être humainement et matériellement très durement éprouvés par le passage du cyclone Martin, je tiens à adresser à leurs habitants l'expression de ma vive sympathie personnelle.
A cette occasion, j'assure le Territoire, mais aussi tous les Polynésiens touchés par cette catastrophe, que la pleine solidarité de la métropole ne leur fera pas défaut.
Jacques CHIRAC |